La lutte anti-cathare
Parler de la lutte anti-cathare aujourd'hui pourrait au mieux prêter à rire, au pire valoir une qualification de farfelu ou de paranoïaque sévère.
Parler de la lutte anti-cathare aujourd'hui pourrait au mieux prêter à rire, au pire valoir une qualification de farfelu ou de paranoïaque sévère.
La grande variété qu'induit la manipulation des concepts aboutit régulièrement à une grande confusion. L'âme et l'esprit en sont une illustration saisissante, au point qu'aujourd'hui un micro-trottoir sur ce sujet donnerait des résultats extravagants.
« À une vérité toute plate, je préfère un mensonge exaltant. » Aleksandr Sergueievitch Pouchkine
De nos jours le regain d'intérêt pour le catharisme ne se dément pas. Certes, cet intérêt peut parfois sembler, pour les puristes que nous sommes, largement dévoyé dans des domaines où la confusion le mêle avec le ridicule.
L'auteur, qui fait suivre son nom (P. Blanc) des lettres s. j. (Societatis Jesu) qui désigne l'ordre des Jésuites (Compagnie de Jésus), revient dans le Bulletin d'Espalion du 7 juillet 1967, sur des publications antérieures faites par lui dans lesquelles il émettait l'hypothèse d'une “contamination cathare” du tympan de l'église de Perse d'Espalion (Aveyron, France).
La foi cathare, en ce qu'elle s'exprime dans le monde et par des incarnations mondaines, ne peut rester uniquement spirituelle.
Le catharisme intéresse beaucoup de monde. Il faut dire que sur une campagne de publicité, il est préférable de s'afficher ami des cathares qu'ami des inquisiteurs.
L'article qui suit provient d'un site aujourd'hui dévolu à la Fédération Française de Tennis. J'avais, à l'époque proposé à son auteur (anonyme) de m'autoriser à le publier ici. Sans réponse de sa part, j'avais copié le document pour l'imprimer.
Voici un article trouvé sur un blog et publié avec l'autorisation de son auteure. Ce sujet est très mal connu et cet article apporte de bonnes informations et d'excellentes photographies. Publié le 30/09/2008.