Le paysan Leutard, l’hérétique de Vertus en Champagne
Rares sont les ouvrages traitant de l'histoire du catharisme qui ne mentionnent pas quelques exemples précis, parmi lesquels se trouve celui du paysan Leutard de Vertus en Champagne.
Rares sont les ouvrages traitant de l'histoire du catharisme qui ne mentionnent pas quelques exemples précis, parmi lesquels se trouve celui du paysan Leutard de Vertus en Champagne.
L'auteur, qui fait suivre son nom (P. Blanc) des lettres s. j. (Societatis Jesu) qui désigne l'ordre des Jésuites (Compagnie de Jésus), revient dans le Bulletin d'Espalion du 7 juillet 1967, sur des publications antérieures faites par lui dans lesquelles il émettait l'hypothèse d'une “contamination cathare” du tympan de l'église de Perse d'Espalion (Aveyron, France).
L'article qui suit provient d'un site aujourd'hui dévolu à la Fédération Française de Tennis. J'avais, à l'époque proposé à son auteur (anonyme) de m'autoriser à le publier ici. Sans réponse de sa part, j'avais copié le document pour l'imprimer.
Voici un article trouvé sur un blog et publié avec l'autorisation de son auteure. Ce sujet est très mal connu et cet article apporte de bonnes informations et d'excellentes photographies. Publié le 30/09/2008.
Si vous passez par Carcassonne et que vous visitiez la basilique Saint Nazaire et Saint Celse située au sud de l’enceinte, vous verrez dans le transept sud, juste au-dessus de la cloche posée au sol, un bas relief constitué d’un morceau de sarcophage.
C'est à l'occasion de la rencontre de Saint-Félix de Caraman (1167) que furent institués de façon formelle les évêchés cathares de France et d'Occitanie. Nous en avons la trace indiscutable dans la Charte de Niquinta qui montre que les églises d'Occitanie ont ressenti le besoin de faire intervenir un évêque bogomile pour valider les choix des communautés cathares en terme de représentation et pour cautionner les négociations de bornage entre l'évêché de Toulouse et celui de Carcassonne.
Nous sommes encore loin de réelles certitudes concernant la façon dont se présentait la cité de Carcassonne à l’aube de l’attaque des croisés en août 1209.
Cependant, les travaux archéologiques permettent de mettre en avant l’hypothèse de constructions s’étendant de façon concentrique à partir de la cité, au fur et à mesure de l’accroissement de la population.
Marie-Élise Gardel que connaissent bien les personnes intéressées par l’archéologie castrale (Lastours, Saissac), a participé à un travail collectif sur l’archéologie de la cité et y a présenté un travail que j’ai trouvé intéressant et dont je reproduit ici la vision figurée des enceintes de la ville selon ce que j’ai retenu de son texte, publié dans l’ouvrage de la Société d’études scientifiques de l’Aude de 2001. (suite…)
La chronologie que je vous propose est réalisée en mixant celle proposée par Anne Brenon dans son ouvrage « Le vrai visage du catharisme » ré-édité récemment aux éditions La Louve et avec des informations glanées sur internet. (suite…)
Le catharisme n’a pas toujours été monolithique dans son expression, tant en raison de la grande flexibilité que son système doctrinaire justifiait, mais aussi en raison des événements extérieurs qui ont eu une grande influence sur le comportement des croyants et même des bons-chrétiens. (suite…)