En ce dimanche ensoleillé du 16 octobre, le petit village de Montségur a vu sa population gonfler subitement jusqu’à dépasser les 500 âmes, elle qui n’en compte qu’une centaine habituellement. (suite…)
Comme c’est le cas pour d’autres fêtes catholiques, la Toussaint fut mise en place pour tenter d’organiser à l’avantage de l’Église chrétienne dominante les restes des cultes païens dont les fidèles ne parvenaient pas à se départir.
La fête de Pâques constitue le point fort de l’année liturgique judéo-chrétienne, et je m'interroge sur le sens de cette fête. Si j'étais juif je ne me poserai pas de question, c'est la fête qui marque la libération du peuple juif selon son livre saint la Torah.
À l’heure où l’on voit des groupes religieux nier les arguments que la science tire de ses recherches, et chercher à imposer à tous — et notamment aux enfants scolarisés — ce négationisme. Il me semble intéressant de voir si l’on peut rapprocher ces deux sœurs ennemies que sont la science et la religion. (suite…)
Nous le martelons à longueur de temps, le catharisme d’aujourd’hui ne peut se contenter de rester une approche philosophique intellectuelle mais doit s’accompagner d’une mise en œuvre concrète par l’installation de communautés de vie évangélique en total respect des critères de la règle de justice et de vérité dont les éventuels aménagements ne doivent concerner que des points sur lesquels les Bons-Chrétiens médiévaux manquaient d’informations que nous possédons aujourd’hui.
Nous le savons la résistance au catharisme existe toujours. Si elle est moins violente physiquement que ne le fut l'Inquisition médiévale, elle est plus insidieuse de nos jours.
En 1022, la ville d'Orléans était la capitale du royaume de Robert le pieux et de sa femme Constance de Provence. Autant dire que cette ville n'était pas très réceptive aux idées religieuses subversives.
Comme le reconnaît honnêtement un, parmi les plus grands historiens de notre temps, la recherche historique n'est pas une science quoique s'appuyant souvent sur des éléments scientifiques dans son expression.
Parler de la lutte anti-cathare aujourd'hui pourrait au mieux prêter à rire, au pire valoir une qualification de farfelu ou de paranoïaque sévère.