Mal, violence, souffrance, etc.
Mal, violence, souffrance, etc. Comme je l’ai lu récemment, le Mal d’un point de vue cathare est quasiment impossible à décrire. Je précise que j’écris Mal (avec majuscule) pour définir…
Mal, violence, souffrance, etc. Comme je l’ai lu récemment, le Mal d’un point de vue cathare est quasiment impossible à décrire. Je précise que j’écris Mal (avec majuscule) pour définir…
Dieu, principe du Bien et l’Être Guilhem de Carcassonne, le 14 août 2022 Le catharisme présente une particularité unique au sein du christianisme qui est de considérer deux principes dont…
Nous rencontrons tous des épreuves dans notre vie, qu’elles soient physiques, professionnelles, sociales, financières ou intellectuelles. Ces épreuves produisent en général un stress, car elles nous montrent notre fragilité et qu’elles remettent en cause nos éventuels projets. (suite…)
Il est courant de dire que le catharisme n’a pas recours à la théologie puisque la théologie est le discours que l’on tient à propos de Dieu. Or, dans le catharisme, Dieu est étranger au monde et, par conséquent inconnu. (suite…)
Nous le savons tous, les textes relatant la création du monde et de l'homme dans l'Ancien Testament souffrent de plusieurs tares.
Dans le rituel cathare occitan de Lyon se trouve une précision, à destination des bons-chrétiens revenus en Languedoc pendant la période la plus dure de l’Inquisition. Il s’agit du cas (casus) de la bête prise au piège et de l’attitude que doit adopter le bon-chrétien dans ce cas.
(suite…)
Je publie ci-dessous un document rédigé par Antonin Gadal (fonds Charlier) sur un sujet central de la doctrine cathare.
Je ne cautionne pas cette analyse, mais je trouve important qu’elle puisse nous aider à mieux comprendre qui était ce personnage mal connu et souvent décrié.
Je réserve mes commentaires au compte Facebook. (suite…)
Cette fable, dont l’auteur reste inconnu, pourrait trouver son origine chez Ésope, le fabuliste grec qui dans Le laboureur et le serpent gelé reprend le même thème. Il a aussi inspiré Jean de La Fontaine pour deux fables qui inversent le propos final. (suite…)
Notre siècle est largement touché par les théories du complot. La France est même, paraît-il, en tête dans ce mouvement de défiance généralisée. Le principe de ces théories est de considérer qu’aucun événement n’est dû au hasard mais qu’au contraire un vaste complot organise tout dans un but précis qui est généralement d’exercer indirectement un pouvoir qu’il serait impossible d’exercer ouvertement dans nos systèmes démocratiques. Face à l’apparente diversité des structures de pouvoir, la théorie du complot tend à prétendre qu’en fait tous ces organismes, connus ou secrets, sont en fait liés entre eux par des intérêts supérieurs de leur point de vue. Alors que la moindre classe politique est incapable de s’entendre au niveau d’un pays, il existerait donc, au plan mondial, voire en y incluant les extra-terrestres, une harmonie visant à un but unique.
Dans sa décrépitude de plus en plus affirmée, notre monde ne lasse pas de m’interpeler. D’un côté nous voyons de plus en plus de nos contemporains venir mourir sous nos fenêtres pour ne pas mourir loin des caméras de télévisions, seules aptes à mobiliser nos égoïsmes repus. De l’autre, nous voyons des recherches qui tendent à nous rendre immortels, du moins si nous en avons les moyens financiers. Que penser de tout cela ? Est-ce une situation naturelle, une forme de sélection naturelle ou bien, ne pourrait-on pas y voir une progression du Mal qui domine ce monde ?