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Le chemin entre éros et agapè pour moi 

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Le chemin entre éros et agapè pour moi

Ce n’est pas ce que je mange ou respire qui est important, mais la manière dont je le fais : la conscience du Bien, la Bienveillance pour la manière (terme de Guilhem qui me va à ravir).

La science nous apprend maintenant que tout est vibration, tout est vivant, tout est sensible, ce que les mystiques disent depuis toujours : le Bien suprême n’a pas créé que les Hommes mais aussi tout le reste dans son assomption du Bien ; le mal étant une création du vide, de l’ombre laissée.
Donc une hiérarchie s’établit, du moins au plus, du celui qui a le plus oublié (le caillou) au plus éveillé (pour les cathares le consolé si j’ai bien compris) s’impose, mais il y a une forme de non-amour ou de cruauté dans tous mes vaines tentatives.

Pour moi le problème n’est donc pas ce que je mange (le plus bio avec le respect de la filière, de la terre, la plante, l’animal et ceux qui les font pousser) ou mes relations avec les autres mais plutôt la manière dont je les aborde, car si dans un verre de vin, je prends conscience du Bien suprême: la terre qui porte la vigne, la vigne qui porte le raisin, le vigneron qui l’élève… jusqu’à la manière d’ouvrir la bouteille en pleine conscience du Bien, ne suis je pas dans la bonne voie ?
Car du minéral à la plante puis à l’animal ne suis je pas dans une forme de cruauté plus ou moins dissimulée  ?

Je comprends pour autant la démarche du moins pire mais n’est-elle pas simplement un exercice d’entraînement plus qu’une finalité : je ne pense pas dans cette cage mondaine arriver à ne me nourrir que de lumière divine !

Philippe

Un seul choix: avancer

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Un seul choix : avancer

Depuis mon dernier témoignage bien des choses ont changées. En 2014, je vous disais avoir clairement rejoint les rangs des croyants depuis mon premier témoignage de 2009 et me préparer à un noviciat que j’entrevoyais à l’horizon de ma future retraite.

J’ai suivi cette voie, qui pour moi était totalement enténébrée vu que personne n’avait témoigné l’avoir suivie depuis sept siècles. Je devais faire seul ce que beaucoup d’autres avaient échoué à réussir alors qu’ils étaient bien encadrés et soutenus par une communauté ecclésiale et une Église encore sur pieds. Je craignais que ma démarche fut plus le fait de ma vanité que d’un engagement spirituel sincère.

Cependant, j’ai cherché à compenser mes défauts et mes manques par une pratique rituelle rigoureuse et une étude approfondie et quotidienne. La première année, je l’ai consacrée à l’étude du Nouveau Testament, chapitre par chapitre, jour après jour. Ensuite j’ai élargi mon champ d’étude aux textes chrétiens et à la recherche historique pour approfondir les preuves des origines des cathares que je venais de publier dans mon livre. Enfin, j’ai étudié plusieurs auteurs chrétiens, élargi mes connaissances philosophiques et dans les autres sciences humaines. La dernière année fut consacrée essentiellement à l’introspection et à la préparation de ce qui m’attendait.

En effet, ayant passé le cap du rituel de la sainte oraison dominicale, mes heures étaient désormais rythmées par le Pater que je venais de produire à partir d’une étude approfondie de la glose. Je savais que j’avais acquis suffisamment de connaissances pour me concentrer sur l’approfondissement de mon engagement spirituel afin de me rendre accessible à la grâce que voudrait peut-être me faire le Saint-Esprit paraclet si je m’en montrais digne. Ce fut le cas en ce début d’année. Je sus alors que mon noviciat arrivait à sa fin. Cela fut officialisé à la Pentecôte suivante par ma Consolation.

Maintenant j’entre dans la partie de mon cheminement que j’imagine la plus difficile. Non seulement je ne dois pas me relâcher dans mon travail spirituel personnel, mais je dois aussi remettre sur pieds une Église cathare disparue voici sept siècles dans d’autres circonstances et dans un autre environnement. Je dois aussi rechercher les croyants déclarés ou encore inconnus qui en formeront l’ossature. Si le maître de ce monde m’en laisse le temps, j’essaierai de laisser à d’autres un outil d’organisation spirituelle capable de redonner toute sa vigueur à une Église cathare d’aujourd’hui qui confirmera mon intuition de 2007 qui me fit choisir pour mon site le titre : Catharisme d’aujourd’hui !

Guilhem de Carcassonne le 24/07/2021.

Mon chemin

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Mon chemin

Depuis que j’ai lu ou relu les philosophes, parfois des personnes dont je m’étais éloignée depuis longtemps, parfois des personnes que je redécouvrais avec leurs failles que je n’avais vues avant, ou encore des personnes que je n’avais jamais lues et que je découvrais avec, je crois, le même regard que celui de mes dix-sept ans lorsque j’avais entrevu les pensées de Socrate, Descartes, Kant, Montaigne, Nietzsche, Sartre… (études obligatoires : le lycée). Mais revenir à la philosophie c’est revenir à la vie, à la lumière, enfin le « cogito » se réveille à se délecter dans la pensée profonde. Il a l’impression d’avoir beaucoup trop dormi, il est temps de réagir !

Alors arrive assez vite la question à laquelle on pensait le moins : Et ma vie spirituelle, où en est-elle ? Ô question insondable ? Un grand vide m’habite depuis bientôt quatre ans, un chagrin, qui par courtoisie, se fait de plus en plus calme. Un vide m’habite, ou plus exactement un manque spirituel qui ne trouve aucun écho en ce monde, et bien que le chemin devant moi soit brouillardeux, je m’y reconnecte naturellement, sans même y penser dès que je pars au bois. Ce chemin mondain est agréable à suivre car il sinue sous de grands arbres montant tout droit vers le ciel, tout en se penchant, bienveillants, généreux de leur ombre pour la marcheuse silencieuse. Pourtant c’est grâce à lui qu’une partie de la vie mondaine se trouve alors agréablement loin de nous, oh ! pas très longtemps bien-sûr, au plus une heure à pied mais on ne peut s’empêcher de se dire : Liberté ! Où, peut-être : libérée ! C’est alors le moment propice, « La liberté alors, c’est une bouchée de pain, une gorgée d’eau fraîche, un paysage ouvert. » Frédéric Gros : « Marcher, une philosophie, éd. Champs poche)

Et, surtout le silence ! « L’évidence retrouvée du silence, d’abord comme transparence… » écrit F. Gros, puis comme respiration retrouvée, ajouterai-je. C’est alors, vraiment dans la solitude que surgissent les questions importantes et parfois les éléments de réponses.

J’ai essayé de penser avec méthode tout en suivant tes conseils, et aussi, il me semble, en suivant tes pas, sans perdre de vue les paroles d’Antonio Machado ; « El camino se hace caminando. » En effet, je sais que dans ce chemin, chacun, chacune est seul(e) dans son « avancement ».

Je t’ai relu, j’ai relu aussi plusieurs fois les fondamentaux, notamment « La règle de justice et de vérité » ainsi que les deux principes qui font partie de ma réflexion depuis très longtemps. Je me rends compte aujourd’hui que les valeurs les plus importantes que j’ai au fond de moi viennent toutes du catharisme, cette religion que tu qualifies toi-même de « spirituelle ». C’est justement parce qu’elle est spirituelle qu’elle me convient, et aussi bien sûr pour le rôle important qu’elle confie à la philosophie permettant au croyant de se faire, comme tu l’as dit, « un costume sur mesure dans le prolongement de sa logique. » Elle est aussi une des rares religion, peut-être la seule même, à penser la femme égale de l’homme, et déjà en cela, on peut dire qu’elle est révolutionnaire ; en tout cas, elle en a acquis dans mon cœur ses lettres de noblesse (au sens premier du terme). Elle est en fait humaniste plus que toute autre par ses idéaux, par son message, par son salut. L’idée du salut m’interroge aussi depuis longtemps, m’ayant à plusieurs reprises, au cours de mon existence, rappelé avant d’agir de ne pas perdre le désir de « sauver mon âme ». Je constate que ses rappels se répètent plus souvent et j’en suis heureuse car ma conviction profonde est de devenir meilleure. Or ces rappels sont vraiment des aides, comme un Jiminy Cricket[1] de la bonne conduite. Ce qui est nouveau pour moi aussi, c’est de prononcer, d’écrire ce mot conviction qui n’appartenait pas à mon vocabulaire. Alors, lorsque je te lisais : « Étudier suffisamment sa propre conviction pour savoir ce à quoi notre intuition nous pousse. » dans ton article sur la foi, je me disais « je n’ai pas de conviction, je ne comprends pas ce qu’il veut dire… » La peur de l’introspection m’anesthésiait, je crois.

Pour pouvoir progresser à mon rythme, j’ai alors décidé de choisir dans chacun des articles que tu as écrits, un objectif que je pouvais légitimement viser. Pour celui de la foi, j’ai retenu celui-ci. « Le cheminement que l’on fera jusqu’au moment opportun, soit rejoindre une communauté pour y vivre ses dernières années, soit la rejoindre dans son agonie lors d’une consolation aux mourants, est essentiel à la réussite de ce dernier moment. »

En ce qui concerne l’ascèse alimentaire, je ne peux l’imaginer pour le moment que dans le cadre futur d’une retraite dans notre prochaine maison cathare, et en attendant je me prépare à l’idée d’une nourriture végétaliste, tout en « luttant » patiemment contre les peurs irraisonnées de mon entourage.

Le détachement, ce maître-mot, comme tu dis, pour devenir Bon-Chrétien, le détachement aux biens matériels ne me semblera pas, je crois, si difficile au moment venu, mais c’est plutôt ce détachement à la nature qui me montre le plus cruellement la difficulté à dépasser ; c’est pour cela que je commençais ma lettre en te parlant un peu de cet espace naturel qui m’est vital, dans le sens où, mais je ne l’ai peut-être pas assez clairement exprimé, c’est là que mon âme s’éveille le plus naturellement aujourd’hui. Je crois avoir compris que tu es loin de cela, aussi, il ne serait pas courtois de ma part de t’ennuyer avec de telles mondanités.

Je peux encore préciser que l’idée d’un Dieu étranger à ce monde me convient tout à fait et le Principe du Bien comme « représentation mentale d’un objectif spirituel destiné à nous faire comprendre notre nature réelle » (comme tu l’as si bien défini) m’a non seulement réconciliée avec l’idée du mot « religion », mais il m’a enfin permis de trouver la mienne.

Dans ce mélange hétérogène que nous sommes, je désire aujourd’hui lutter attentivement contre la part mondaine, pour chercher au plus profond de moi le Principe du Bien, afin d’éveiller mon étincelle divine.

Je sais que le chemin est long, mais aujourd’hui je sais aussi que c’est bien celui-là qui me convient. Si je peux aider à la vie de l’Église cathare, je me propose d’être toujours active, dans toute mission qu’elle pourra me confier, et si je trébuche sur le chemin, je sais que je ne serai pas seule, enfin si je n’en connais pas la destination finale, je sais que je serai toujours là pour défendre la pensée cathare et tout être humain qui la fera sienne.

Chantal Benne le 24/07/2021

[1] Personnage servant de conscience à Pinocchio dans le dessin animé éponyme de Walt Disney

Mon chemin de foi

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 Retraitée du monde associatif (insertion sociale) depuis 7 ans, je vis sobrement dans un hameau cévenol de 8 habitants.

Élevée dans la religion catholique, mais avec un père anticlérical, je perçois très tôt les incohérences de l’Église. Dès l’enfance je prend conscience qu’en naissant fille ma vie ne sera pas un long fleuve tranquille, mais j’ai foi en Dieu et en son Amour.

Le  christianisme cathare, je le découvre auprès d’un ami originaire de la vallée de la Roya. Il fait écho à mes interrogations, mais l’impeccable droiture des bonshommes semble inaccessible à l’imparfaite que je suis.

 Avec le temps et les vicissitudes de la vie, les doutes et les questionnements se convertissent en certitudes et quelques années après je m’éloigne de la religion  catholique,  mais je garde au fond de moi, comme ligne de vie, l’unique commandement de Christ : « Aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimé ». Mon cheminement commence ; il continue et pour longtemps encore.

En 2014 je découvre le site Catharisme d’aujourd’hui et le livre d’Éric. En 2016, je participe à la huitième Rencontre cathare ; je fais la connaissance d’Éric, de José, de Ruben, de Renée et bien d’autres. Au terme de ces deux jours de partage, je repars dans les Cévennes le cœur lourd ; je quitte ma famille spirituelle, mais je ne suis plus seule sur le chemin ; ma place est parmi eux. Je décide de m’engager, comme d’autres l’ont fait avant moi et  comme le feront d’autres après nous sur le chemin de la résurgence cathare que nous espérons tous et cela me comble de joie.

Bienveillance à tous.

Élysabeth

Expression

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Expression

La communication ne fonctionne pas à sens unique.
Cet espace vous est ouvert pour exprimer votre rapport au catharisme, que ce soit au plan spirituel, historique, artistique, etc.
Il y a autant de formes d’expression que d’individus s’exprimant.
En voici quelques unes :

Expression artistique

Christine Lany

Cette artiste « surréaliste » vous propose, dans son exposition, des œuvres inspirées d’éléments naturels ou architecturaux découverts sur des sites en rapport avec le catharisme. Elle est aussi l’auteure du tableau ayant servi de couverture au livre Catharisme d’aujourd’hui.

Ermessenda

Œuvre anonyme, ce poème est dédiée à l’épouse du comte de Foix, jugée et brûlée post mortem pour hérésie.

Parcours spirituels

Chacun de nous s’interroge sur la spiritualité, un jour ou l’autre. Cela peut conforter une voie que nous suivons depuis l’enfance ou inciter à explorer d’autres chemins de foi. Parfois, après s’être engagé dans une voie qui nous semblait correspondre à notre spiritualité, nous nous apercevons qu’elle ne nous convient pas et nous en empruntons une autre.
Ce qui importe est de savoir vers où nous voulons aller.
Vous trouverez dans ces parcours personnels l’expression de choix anonymes ou assumés, mais surtout, vous pourrez m’adresser un texte présentant le vôtre, qui sera publié à votre guise de façon ouverte ou anonyme.

    AnonymePseudonymeMon nom réel

    En envoyant ce message, j'accepte sa publication sur le site.

    Mon cheminement

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    Elevé au sein  d’une famille où les pratiques et rituels de l’église catholique romaine encadraient les jours et les visions spirituelles, ce ne fut qu’à l’aube de ma vingtième année, à la lecture d’un livre traitant de la croisade albigeoise, que ce chemin mensongé s’arrêta violemment.

    Découvrant, avec une profonde stupeur, les actes orchestrés par cette église à laquelle j’appartenais,  un dégoût, une immense déception et une irrépressible colère m’envahirent. Un lourd sentiment d’avoir été trompé s’imposa à moi. Ayant servi comme enfant de cœur durant de nombreuses années, tout en étant louveteau, puis scout, une large partie de mon enfance prenait un air de fausseté.

    S’il me fallut quelques temps pour comprendre que mes parents ignoraient totalement cette page noire de leur église (mon père disait toujours avoir une foi d’enfant) et que leur en vouloir n’était donc nullement justifié, mon ressenti à l’égard de l’église catholique romaine et de ses représentants en fut tout autrement.

    Face à ce vide que venait de créer cette douloureuse découverte, je ne tardai à me tourner vers l’AMORC et l’Ordre Martiniste Traditionnel. Mais assez vite cette voie se révéla ne pas être la mienne.

    Je commençai à m’intéresser alors à l’histoire de ces cathares et participai à quelques réunions organisées par la Société du Souvenir et des Etudes Cathares à laquelle je venais d’adhérer.

    Mais, passionné d’histoire depuis mon adolescence, le chemin pris pour aller à la rencontre de ces Bonnes et Bons Chrétiens se fit exclusivement par le biais historique, me rendant régulièrement, grâce aux livres de Michel Roquebert (L’épopée cathare) sur un grand nombre de sites (hameaux, villes et villages) où vécurent ces femmes et ces hommes dont le « souvenir » me bouleversait. J’avais alors la sensation d’être à la recherche d’ombres du passé.

    En parallèle de ce retour sur leurs traces, ma foi se focalisait uniquement sur le message d’Amour de jésus.

    Immergé dans le monde des affaires, et menant une vie professionnelle de chaque instant, la sphère financière ne modifiait pas l’homme de foi. Chaque jour je m’efforçais d’habiller, au mieux, mes devoirs et engagements professionnels de respect et d’humanité et ma conscience fut mon guide durant ces deux décennies.

    Mais cette vie trop trépidante, sans repos, me conduisit durant deux mois dans un lit d’hôpital, suivi de quinze mois de mise à l’écart de mon travail.

    Et ce fut là, que totalement immobilisé sur un lit de douleur que mes yeux se décillèrent. Je venais de rencontrer un homme « dont les pensées étaient miennes » ;  Paul de Tarse ! Moment de révélation pour ma vie intérieure, alors que mon corps n’était que souffrance.

    Après avoir occupé une place importante en moi, mais toutefois seconde, l’être spirituel prenait le flambeau pour me guider vers cette fin de vie qui, depuis la fin de mon adolescence, m’appelait.

    Mon existence d’homme valide reprit son cour, mais l’homme d’affaires s’effaça. Il y avait urgence à changer de sillon de vie.

    Grâce à internet je rencontrai Yves Maris et puis le site Catharisme d’Aujourd’hui. C’était l’époque des forums avec leurs bons et moins bons aspects. Après quelques rares participations, j’optai pour une position d’observateur.

    Jusqu’au jour où j’appris, grâce à la découverte d’une passionnée de généalogie, que plusieurs de mes ancêtres, alors de religion protestante en ces temps-là, avaient été, suite  à la révocation de l’Edit de Nantes, contraints de renier leur foi, sous peine de voir leurs enfants confiés à des familles catholiques et leurs biens saisis.

    A l’instant même de cette révélation, je sus que je devais modifier mon statut, en passant d’observateur, à participant à la résurgence du catharisme.

    Garnier du Lantarès

    Retour aux sources

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    Dans mon enfance j’avais un oncle chez qui j’aimais bien me réfugier car il vivait seul dans ses garrigues, avec ses bestioles  en  toute autonomie ce qui lui valait le surnom de sauvage pour ses détracteurs ou de cathare pour ceux qui le connaissaient mieux

    Il me cassait du curé alors qu’élevé dans la religion catholique  je préparais ma communion et je ne comprenais pas tout son message bien que percevant une part de vérité dans ses propos

    J’ai toujours attaché une grande importance aux valeurs chrétiennes d’Amour, de bienfaisance et d’humanité ce qui m’a amené à prendre, plus tard,  des responsabilités dans des associations d’enseignements  dits libres puis à la quarantaine à rejoindre la franc-maçonnerie chrétienne

    Ainsi la voie Rectifiée empruntée à JB Willermoz ( du rite écossais rectifié) me ramène vers un christianisme primitif  initié par JC

    Cependant en qualité de cherchant, je re-croise la doctrine cathare qui participe également d’une quête de la Vérité

    Me voici donc avec et parmi Vous, pour comprendre, vivre  et partager

    Bien amicalement

    Stephan

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