Habillement « cathare »

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Habillement « cathare »

La question du vêtement

« L’habit ne fait pas le moine ». Ce dicton très populaire donne matière à une double interprétation cohérente. Le sens le plus commun est que celui qui s’habille en moine ne l’est pas forcément et que, par extension, il ne faut pas se fier à la première apparence pour évaluer la réalité d’une situation. Mais il est un autre sens moins bien saisi qui est que si l’habit ne fait pas le moine, le moine n’en a pas moins pour autant une habit qui le caractérise. D’une certaine façon ce n’est pas l’habit qui fait le moine mais c’est bien le moine qui se manifeste dans un habit particulier.
Vous vous demandez sans doute pourquoi je peine tant à tarabiscoter ainsi ce dicton ? La raison m’en semble essentielle. En effet, la question du vêtement dans toutes les sociétés est importante, même chez ceux qui ont vocation à se détacher de tout, y compris de l’apparence vestimentaire. Et d’ailleurs, pour marquer son détachement, l’ascète choisit soigneusement l’apparence qu’il se donne. Même Diogène le cynique, quand il sort de son tonneau nu comme un ver pour se masturber en public, n’est pas seulement nu au sens vestimentaire du terme, mais il est nu par rejet du monde et il se masturbe par rejet de toutes les règles y compris les plus essentielles.
L’ascète vêtu d’un pagne — comme Jésus à l’heure dernière me direz-vous — manifeste ainsi son détachement du monde et s’il revêt ce pagne c’est par respect des autres, contrairement à Diogène. Il se retire du monde personnellement mais ne le juge pas et ne le défie pas. Qu’en est-il du religieux ? On le sait, les religieux portent le plus souvent des tenues floues que l’on appelle souvent des robes. Elles ont un double avantage : d’abord d’être faciles et peu onéreuses à fabriquer et ensuite de masquer les contours du corps, provoquant ainsi une sorte d’égalité de façade. En outre, à des époques où dans des pays où la robe est généralement réservée aux femmes, un homme en robe manifeste une identité très spécifique et aisément identifiable. Qu’en est-il des membres de l’Église cathare et de leurs croyants ?

Les tenues des Cathares au Moyen Âge

Les Bons-Chrétiens

Il faut distinguer deux périodes, celle d’avant la répression et celle d’après. Ce que l’on retrouve pour les Cathares de la période de paix — avant 1209 donc —, en terme de vêtement, c’est le port d’un vêtement monastique, la robe de bure et la couleur noire.
Il semble cohérent que les Cathares consolés manifestent leur appartenance à un ordre religieux chrétien en utilisant les deux façons ordinaires de faire : l’adoption d’une Règle de vie — d’où le nom de réguliers qui leur est appliqué —, et le port de la tenue moniale traditionnelle.

Le noir, toute une histoire !

On observe des variations de couleur dans les tenues moniales. Les ordres catholiques les plus anciens portaient de la toile naturelle non traitée donc plutôt brune et, petit à petit, la couleur blanche s’est imposée. Pourtant, les Cathares eux teignaient leur robe en noir. Pourquoi ?
Avant de proposer ma réponse je voudrais revenir sur l’histoire de cette couleur en m’appuyant sur les compétences d’un historien des couleurs qui a consacré un ouvrage à cette couleur[1]. Jusqu’à la moitié du 14e siècle, teindre un tissu en noir posait de multiples problèmes. D’abord, le noir avait mauvaise réputation et était associé au diable. Ensuite, les procédés pour l’obtenir étaient peu efficaces et nécessitaient le plus souvent une juxtaposition de couleurs (noir sur bleu, noir sur brun). Sinon, il fallait recourir à une couleur oxydée à partir de métaux (interdite par la charte des teinturiers) qui abimait les tissus, ou une couleur accentuée par l’usage de cendres qui ne tenait pas au lavage. Enfin, le procédé le plus efficace, d’un prix de revient très élevé, utilisait des noix de galle. Une autre méthode assez efficace qui donnait un noir durable et profond était l’usage de racines de noyer. Mais cet arbre avait très mauvaise réputation et son usage en était donc rendu difficile.
On comprend que les moines des ordres catholiques préféraient laisser leurs vêtements écrus (donc plutôt brun clair) ou les faisant sécher au soleil, à plat dans un champ, les laissaient virer au blanc.

Le choix de l’humilité

Donc, pourquoi les Cathares, pauvres et peu enclins à des pratiques de teintures compliquées, faisaient-ils le choix du noir. La meilleure réponse que j’ai trouvée est que le noir, avant le 14e siècle qui en fera la couleur préférée des princes, était une couleur considérée comme modeste. Bien entendu cette appréciation ne reposait sur aucun principe scientifique. Mais aujourd’hui nous pouvons louer ce choix car effectivement l’analyse du spectre lumineux permet de confirmer ce choix. En effet, la couleur que nous voyons correspond aux longueurs d’onde lumineuse que le matériau réfléchit lorsqu’il est touché par la lumière. Faisant barrage à la lumière, il laisse passer certaines longueurs d’onde et s’oppose aux autres. Le blanc correspond à la réflexion de toutes les longueurs d’onde, le rouge à celle correspondant au rouge, etc. Et le noir ? Et bien le noir est visible quand le matériau ne s’est opposé à aucune longueur d’onde et les a toutes laissées passer. C’est en quelque sorte une « néant » de lumière. Ainsi, la lumière étant généralement considérée comme une expression divine, le noir ne lui cause aucun tort et la laisse totalement passer. C’est donc aujourd’hui aussi assimilable à une forme d’humilité.

Le trousseau du moine

Quels vêtements portaient les Cathares médiévaux ? Hormis la robe de bure, ils portaient une ceinture avec une sacoche contenant le Nouveau testament. Ils étaient chaussés de sandales en été et de chaussures fermées en hiver. Enfin, ils portaient un chapeau plat circulaire. C’est tout ce que nous savons d’eux.
Pourtant nous savons que les moines catholiques avaient d’autres vêtements. Notamment la coule, espèce de chemise longue à manches longues comportant peu de coutures qui servaient pour participer aux offices. C’était le vêtement adapté aux activités liturgiques quand le moine n’était pas en robe de bure. En effet, il est nécessaire d’avoir une tenue identique à celle des autres frères dans cette pratique et que cette tenue soit, en quelque sorte, réservée à cet usage si important dans la vie régulière.
Pour les travaux, cette robe de bure était protégée par un scapulaire, pièce de tissu rectangulaire disposant en son centre d’un trou pour la tête. Elle couvrait le devant et l’arrière de la robe de bure pour éviter de la tâcher. À une époque où la distinction entre vie intime et vie sociale n’existait pas, les religieux portaient leurs vêtements en tous lieux. Donc, en extérieur, les moines portaient une cape destinée à les protéger des intempéries. Cette cape disposait d’une capuche, comme il y en avait une aussi, soit intégrée à la robe de bure, soit au scapulaire.
En fait, rien ne permet de dire que les Bons-Chrétiens étaient habillés très différemment des autres moines, au contraire. Nous les différencions beaucoup plus qu’ils ne devaient le faire eux-mêmes. À l’exception de la couleur, les tenues devaient se ressembler beaucoup.

La persécution

Pendant la croisade et surtout l’Inquisition, la survie de l’Église demandait un aménagement destiné à rendre plus discret les Bons-Chrétiens menacés en tous lieux. Ils adoptèrent alors un habillement passe-partout ressemblant à une tenue civile dont la couleur était, d’après les témoignages, soit vert foncé, soit bleu foncé, qui étaient effectivement des couleurs communes à l’époque.
Il est rapporté l’usage d’une cordelette nouée autour de la taille pour rappeler l’état religieux du Bon-Chrétien. J’avoue en douter car, d’une part, rien ne devait trahir cet état devant des personnes susceptibles de dénoncer les Bons-Chrétiens à l’Inquisition et, d’autre part, les communautés croyantes n’avaient nul besoin d’un tel signe de reconnaissance pour identifier leur clergé.
Bien entendu, et en accord avec les évangiles, le trousseau était réduit au strict nécessaire.

Les croyants

Je fais un rapide point sur ce sujet afin de rappeler que les croyants, n’étant par définition pas Consolés, n’avaient strictement aucune obligation d’aucune sorte et vivaient donc, y compris dans le domaine de l’habillement comme n’importe quelle autre personne de leur entourage social.

L’habillement des Cathares d’aujourd’hui

Ce sujet relève un peu de la fiction puisque nous ne pouvons prétendre qu’il y ait, à ce jour, qui que ce soit qui puisse être identifié comme un Bon-Chrétien. Néanmoins, rien n’interdit de réfléchir à ce sujet.

La tenue des novices et des Consolés

Dans le cadre d’un noviciat, rien ne permet de dire qu’il serait justifié que le croyant en cours de formation adopte une tenue particulière. Du moins, tant qu’il n’a pas atteint le stade de la pratique de l’Oraison dominicale. À compter du moment où il serait amené à pratiquer le Pater, il semble logique de considérer qu’il devrait le faire avec les mêmes marques de respect et d’humilité que cela se voit dans les monastères catholiques, c’est-à-dire en portant une coule sur sa tenue classique.
Maintenant, quand nous aurons un Consolé, il me semble évident qu’il devra recourir à la tenue ecclésiastique comportant une robe noire.
Par contre, compte tenu des spécificités de notre société moderne, je pense que les sorties de la maison cathare doivent se faire en tenue civile. Comme on l’observe aujourd’hui chez les croyants qui se sentent particulièrement engagés dans leur cheminement cathare, cette tenue est noire, autant que faire se peut, mais demeure comparable à celle des autres personnes de l’environnement social. Faute de savoir exactement à quoi ressemblait le chapeau des Cathares médiévaux, il ne me semble pas important de décider quoi que ce soit à ce sujet. Le port d’une casquette, d’un bonnet ou d’un chapeau doit rester du libre choix de chacun pour autant que ces couvre-chefs restent discrets et modestes.

La tenue des croyants

Comme au Moyen Âge, rien ne s’impose à eux. Néanmoins, et nous l’observons déjà, le recours au noir semble être une façon de marquer son engagement dans la foi. Cela doit néanmoins demeurer du domaine du libre choix individuel.

Principes liés aux choix de vêtements

Habillement non violent

L’habillement non violent vise tout simplement à rechercher des alternatives qui permettent de proposer des vêtements à des prix raisonnables sans pour autant recourir à des matières issues de la souffrance ou de la mort animale. Le monde végan (végétaliens) permet de faire avancer ce domaine même s’il est permis de se demander s’il est nécessaire de chercher des alternatives à tous les produits ou s’il ne serait pas plus simple d’adapter nos besoins à notre philosophie. En clair plutôt que de chercher à imiter le cuir, pour ne pas produire des vêtements qui ne cherchent pas à paraître ce qu’ils ne sont pas, il serait plus simple d’utiliser d’autres matières.
Le commerce traditionnel propose des solutions pour un habillement simple : vêtements en fibres végétales ou synthétiques, chaussures en tissu, ceintures et accessoires sans matière animale. Il n’y a donc pas de problème concernant les sous-vêtements et les vêtements en général. Il faut faire attention aux éléments accessoires (boutons, cordons, etc.) et à certains produits comme la soie qui peuvent surprendre notre vigilance. Concernant les manteaux, blousons, anoraks, etc. le problème semble également facile à contourner. Par contre il est difficile de trouver des chaussures « habillées » sans cuir. Nos amis britanniques semblent avoir un peu d’avance sur nous et le mouvement végétalien (végan) pousse à la recherche en ce domaine. Donc si vous cherchez des chaussures, de ceintures et des sacs à l’aspect cuir mais qui n’en contient pas, voyez sur les sites végans ou sur les sites anglophones végétariens.
C’est plus compliqué dans des domaines plus spécifiques. Actuellement s’il existe des équipements de sécurité pour motard en tissus (blousons et pantalons), je n’en connais pas qui n’utilisent pas le cuir concernant les bottes, les gants et les casques. Les fibres synthétiques permettent aussi de remplacer le cuir dans le domaine de la sécurité grâce à des fibres comme le kevlar® (résistance aux déchirures et perforations) et le nomex® (résistance au feu).
Il est possible d’éviter de recourir aux produits animaux en imaginant des alternatives innovantes. Produire des sangles en fibres tressées, comme c’était le cas au Moyen Âge, permet de fabriquer des ceintures, des lanières pour des sacs, etc. Peut-être une ouverture pour des bons croyants désireux de trouver une activité professionnelle cohérente.

De possibles dérogations

Il ne faut pas se leurrer, que nous recourrions ou non à des matières animales, ces dernières demeureront disponibles pendant longtemps en raison de l’exploitation animale aux fins alimentaires. S’il ne faut pas hésiter à s’en passer quand c’est possible et abordable, je crois qu’il ne faut pas virer à l’intégrisme en ce domaine, comme cela se voit chez certains partisans du Véganisme.
Si l’on n’exploitait plus les ovins et les caprins, il n’en demeurerait pas moins que ceux vivant alentours continueraient à perdre leur laine en été. Le simple ramassage et traitement de cette dernière permettrait une utilisation vestimentaire non violente.
Comme je le disait, du fait de l’abondance de matière animale produite par l’utilisation animale à des fins alimentaire rend peu développée la production de matières alternatives, notamment dans le domaine des chaussures. Donc, en attendant une évolution souhaitable, il ne me semble pas insupportable d’utiliser ce qui existe quand d’autres options sont difficiles ou trop onéreuses à mettre en œuvre. En outre, l’utilisation de matières animales peut trouver une justification dans un cadre de recyclage afin de ne pas participer à une augmentation de la production de ces matières et de ne pas gâcher des produits qui ont déjà un passif important.

La non permanence

Choisir des fibres à faible durée de vie permet aussi de s’inscrire dans une volonté de laisser le monde intact de notre passage. Mais il faut envisager d’aller plus loin en privilégiant des méthodes de production, de distribution et de recyclage qui s’inscrivent aussi dans cette démarche. Les Bons-Chrétiens cathares choisissaient souvent des professions intermédiaires qui gravitaient autour de la production textile. Certes, il est vraisemblable que le choix initial tenait à la liberté de mouvement que permettait cette activité. Un autre critère était d’éviter, autant que faire se peut, de se trouver en situation de réaliser des bénéfices vis-à-vis de la clientèle. C’est pour cela que l’on trouve souvent les chrétiens cathares en position artisanale au profit d’un grossiste plutôt qu’en relation directe avec la clientèle, même si des contre-exemples existent (camelots, éleveurs, etc.). Cette position permettait aussi d’éviter des postes de pouvoir (contremaître, chef d’entreprise, etc.), même si l’on connaît des bons chrétiens médecins.
Si les motivations de Gandhi étaient différentes, l’idée d’être le producteur des produits manufacturés que l’on utilise peut sembler cohérente car elle permet de choisir les matières et les processus de fabrication adaptés. Pour autant, il faut bien accepter que l’on ne peut produire tout ce que l’on utilise, car le volume produit peut engendrer des « coûts », écologiques notamment, contraire à l’idée de non permanence.
Un autre moyen d’éviter de laisser persister des vêtements de façon excessive tient à une variété modeste et un volume adapté aux exigences sanitaires de la vie moderne. En ce domaine, l’évolution de la société et des conditions d’hygiène fait qu’il n’est plus envisageable de se contenter d’un seul vêtement comme cela apparaît dans les textes anciens. Il faut comprendre cette prescription dans sa dimension allégorique, c’est-à-dire n’avoir qu’un seul type de vêtement par usage et en quantité adaptée aux nécessités techniques et sanitaires.

La modestie

Comme la non permanence, avec laquelle elle partage bien des analyses et des solutions, la modestie vise à la juste suffisance en réduisant les quantités et la variété au strict nécessaire. Elle vise également à choisir les matériaux en fonction de leur efficience et non pour satisfaire un goût du luxe ou de l’ostentation. Je vois plusieurs approches de la modestie dans le domaine de l’habillement. Mais le point commun est bien de ne pas flatter l’ego et de limiter la prégnance mondaine, notamment via ses armes sensuelles.
Le premier point est donc de privilégier l’économie et le caractère strictement pratique. Nous avons tous des armoires qui regorgent de vêtements inutiles car, soit en surnombre, soit choisis pour des raisons non rationnelles. Certes, notre vie de croyant nous impose une certaine participation au monde et il ne faut pas s’en désespérer. Mais si l’on souhaite poursuivre son cheminement chrétien, la question de l’habillement modeste ne peut être éludée. Pour autant il serait ridicule et contre productif de jeter à la poubelle tel type de vêtement et d’aller en acheter d’autres. Le renouvellement de la garde-robe se faisant sur des périodes variant de un à cinq ans environ — surtout si l’on considère la qualité des vêtements d’aujourd’hui — il suffit de remplacer progressivement ce qui devient inutilisable par des produits plus adaptés. Si l’on conserve une activité professionnelle qui oblige à sortir dans le monde — pour ceux qui vivraient en communauté dans une optique d’approfondissement de la vie de croyant — ou si l’activité impose des vêtements adaptés en termes pratiques et de sécurité, il faut accepter de diversifier sa garde-robe en ce sens. Par contre, on peut envisager de conserver des vêtements utilisés avant ce changement de vie pour cet usage. De même, tout le temps passé à approfondir sa foi chrétienne cathare, peut être l’occasion de finir d’user des vêtements de la période strictement mondaine antérieure. On le voit, il n’y a pas de règle et il ne peut pas y en avoir dans le contexte actuel.
Le second point est liée au respect de critères liés à notre incarnation mondaine. La non violence impose de ne pas se nuire à soi-même par des actions délétères volontaires du moment où nous les connaissons comme telles. Contrairement aux premiers siècles de notre ère et encore même au Moyen Âge, nous savons que l’hygiène cutanée et un certain niveau d’asepsie sont nécessaire à la prévention de maladies potentiellement mortelles. Cela impose de ne pas conserver des vêtements salis par une journée d’usage après s’être lavé. Or, il faut se laver quotidiennement. Il convient donc de changer de vêtement tous les jours, particulièrement pour ceux qui sont en contact avec les zones intimes et ceux qui touchent ou sont proches des zones les plus soumises à la transpiration et à la perspiration. Les sous-vêtements et les vêtement du torse et des pieds doivent donc être changés quotidiennement ce qui oblige à disposer d’un stock permettant de s’organiser avec des lessives raisonnablement espacées. En outre, si l’on travaille, les vêtements peuvent se salir davantage, même pour ceux initialement portés plusieurs jours durant. Une garde-robe raisonnable doit donc permettre de s’habiller une semaine durant et de faire une lessive hebdomadaire en prévoyant le délai de séchage. Cela revient à prévoir un habillement cohérent pour une dizaine de jours.

Voilà ce qui me semblait intéressant d’évoquer concernant la tenue vestimentaire qui, comme vous le voyez, n’est pas forcément strictement accessoire.

Éric Delmas, 6 mars 2017.


[1] Michel Pastoureau « Noir. Histoire d’une couleur »

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